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POURQUOI MARGUERITE D’YOUVILLE

Depuis 2008, l’Unité pastorale porte le nom de Sainte Marguerite d’Youville. Ce choix honore la plus célèbre des enfants de la région, la première canadienne de naissance à être reconnue comme sainte par l’Église catholique.

Marguerite Dufrost de la Jemmerais , née à Varennes le 15 octobre 1701, est baptisée le lendemain dans l’église paroissiale. Les archives de la paroisse Sainte-Anne conservent toujours l’original de son acte de baptême. En 1722 elle épouse à Montréal François d’Youville et donne naissance à six enfants dont seulement deux atteindront l’âge adulte. Devenue veuve à 30 ans, elle doit travailler pour élever ses enfants et acquitter les dettes de son mari.

Elle s’oriente vers une vie de prière et de service auprès des malades et des pauvres. Avec quelques compagnes, elle prend charge de l’Hôpital général de Montréal. Elle affronte avec courage et détermination mille difficultés, en particulier l’hostilité de beaucoup de personnes de son entourage. Elle rend l’âme le 23 décembre 1771.

La vie de Mère d’Youville inspire la fondation de six congrégations religieuses féminines, dont les Sœurs de la Charité de Montréal, mieux connues sous le nom de Sœurs Grises.

L’Église a reconnu ses mérites et l’a proposée comme modèle à imiter en la déclarant bienheureuse en 1959 et sainte et 1989. Depuis 2009, son tombeau repose dans la Basilique Sainte-Anne à Varennes.

Sa fête liturgique se célèbre le 16 octobre, jour anniversaire de son baptême.

POURQUOI MARGUERITE D’YOUVILLE

Depuis 2008, l’Unité pastorale porte le nom de Sainte Marguerite d’Youville. Ce choix honore la plus célèbre des enfants de la région, la première canadienne de naissance à être reconnue comme sainte par l’Église catholique.

Marguerite Dufrost de la Jemmerais , née à Varennes le 15 octobre 1701, est baptisée le lendemain dans l’église paroissiale. Les archives de la paroisse Sainte-Anne conservent toujours l’original de son acte de baptême. En 1722 elle épouse à Montréal François d’Youville et donne naissance à six enfants dont seulement deux atteindront l’âge adulte. Devenue veuve à 30 ans, elle doit travailler pour élever ses enfants et acquitter les dettes de son mari.

Elle s’oriente vers une vie de prière et de service auprès des malades et des pauvres. Avec quelques compagnes, elle prend charge de l’Hôpital général de Montréal. Elle affronte avec courage et détermination mille difficultés, en particulier l’hostilité de beaucoup de personnes de son entourage. Elle rend l’âme le 23 décembre 1771.

La vie de Mère d’Youville inspire la fondation de six congrégations religieuses féminines, dont les Sœurs de la Charité de Montréal, mieux connues sous le nom de Sœurs Grises.

L’Église a reconnu ses mérites et l’a proposée comme modèle à imiter en la déclarant bienheureuse en 1959 et sainte et 1989. Depuis 2009, son tombeau repose dans la Basilique Sainte-Anne à Varennes.

Sa fête liturgique se célèbre le 16 octobre, jour anniversaire de son baptême.